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Interview intégrale de Bernard Pivot à l’occasion de son passage en Valais. Le journaliste et homme de lettres y parle de son amour des mots, de son spectacle et de vin.

Son premier ami était le Larousse. Il nous raconte que: «pendant la guerre, ma mère s’était réfugiée dans un petit village du Beaujolais avec ses deux garçons. Je n’avais qu’une vieille édition du petit Larousse et les Fables de La Fontaine. C’est le premier livre que j’ai lu en jouant à saute-mouton dans le livre. Je notai sur un carnet des mots qui me plaisaient et qui me paraissaient intéressants. J’allais chercher dans le Larousse, des mots des Fables de La Fontaine que je ne comprenais pas.»