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LE JOURNAL du 06.01.2015

Stations de ski: les gagnants et les perdants
La neige est arrivée tardivement, le 27 décembre. La tâche pour les stations touristiques, durant les fêtes de fin d’année, s’est compliquée. Après un décryptage des chiffres donnés par les stations dans notre reportage, Isabelle Gay fait le point sur la situation et la sécurité ces jours prochains en montagne, avec François Dufour, de l’Institut fédéral de la neige et des avalanches.

Ski-alpinisme: J-30 avant les Mondiaux à Verbier
Dans un mois, Verbier et le val de Bagnes accueilleront les Mondiaux de ski-alpinisme. Ce matin, les organisateurs ont convié la presse, en présence de deux ambassadeurs de choix: Florent Troillet et Thomas Corthay.

Rhône 3: qu’en pensent les conseillers nationaux valaisans?
Le référendum contre le financement de la 3e correction du Rhône déposé hier à la Chancellerie a réuni 8528 signatures. Tous les conseillers nationaux valaisans ont affirmé à Canal9 ne pas avoir signé, sauf Oskar Freysinger qui laisse planer le doute.

Vins mousseux: la vente des crus locaux augmente en Valais
Si, pour la plupart des encaveurs qui produisent des vins mousseux en Valais, il s’agit de produits de niche, durant les Fêtes de fin d’année, ces vins voient leurs ventes augmenter. En Valais, le spécialiste incontesté des vins effervescents, c’est Jacques Germanier. Aujourd’hui, elle produit 150’000 bouteilles. Romain Papilloud, amateur de vins de bulle, a quant à lui vendu 2000 bouteilles de son millésime 2013.

Patronyme: les Fournier sont les plus nombreux
Selon une information du Tages Anzeiger, le nom le plus répandu dans le Valais romand serait Aymon. Mais en réalité, si on supprime les inscriptions commerciales, ce sont les Fournier qui sont les plus nombreux, avec 570 familles qui le portent. Ce patronyme est suivi par les Bonvin et les Favre. Quant aux Aymon, ils seraient 218 dans notre canton.

IUKB: conséquences de la tutelle des unis de Lausanne et Genève
Les universités de Lausanne et de Genève ont désormais des antennes en Valais. Depuis le 1er janvier, elles chapeautent les activités de l’Institut universitaire Kurt Bösch à Bramois. Quelles sont les conséquences pour les étudiants? Y a-t-il des incidences pour l’autonomie de IUKB? Directeur de l’institut, Philip Jaffé est sur le plateau du Journal pour en parler.