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200 ans de médecine en Valais

En 1815, les Valaisans vivaient en moyenne 30 ans. La mortalité infantile était courante: un enfant sur cinq n’atteignait pas l’âge d’un an. Les femmes en couche s’exposaient à de grands risques et l’accès aux soins était extrêmement difficile. L’état de salubrité était infecte, ouvrant la voie aux épidémies et infections de toutes sortes. Au XIXe siècle, la maladie était souvent perçue comme une action divine, une fatalité contre laquelle il ne fallait pas nécessairement se battre.
L’ANTIDOTE propose un retour en arrière sur les 200 dernières années de médecine en Valais.