A Martigny, l’Idiap – institut de recherche spécialisé dans l’intelligence artificielle – lance un nouveau projet de recherche en collaboration avec l’Université de Zurich et l’entreprise SICPA. A travers la création d’un répertoire de visages de synthèses générés automatiquement. Le projet poursuit deux buts: le premier, diversifier les profils (d’âge, de genre, d’origine) afin d’empêcher les biais observés dans les systèmes de reconnaissance faciale. En effet, pour se développer, ces outils puisent dans des bases de données qui ne sont souvent pas représentatives de la population et les conséquences peuvent être néfastes (erreurs d’identifications etc.), nous explique Sébastien Marcel, chercheur à l’Idiap. La professeure Isabelle Collet de l’Université de Genève nous expose quant à elle les raisons derrière ce manque de diversité. L’autre but concerne les lois en vigueur sur la protection des données – et celles à venir -qui empêchent les chercheurs en biométrie d’accéder à tous les types de profils dont ils auraient besoin. La création d’une base de donnée qui n’est pas rattachée à des personnes réelles présente une solution inédite et intéressante.
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