Fin mars, Canal 9 révélait des actes pédophiles perpétrés par un religieux dans les années 80, à l’École des Missions. La Congrégation du Saint-Esprit, qui tenait l’institution de Saint-Gingolph, semblait alors découvrir une partie des éléments. Pourtant, un document d’archive montre que les responsables de la Congrégation avaient connaissance d’abus déjà au moment des faits. Aujourd’hui, la question d’une criminalité institutionnalisée se pose. La Procureure générale, elle, craint un cas Abbaye de Saint-Maurice numéro 2.
Le témoignage d’Alexandre Lopez, victime du religieux pédophile: