Les Suisses ont donc dit “oui” à l’abolition de la valeur locative. Chez les propriétaires valaisans, il y aura des gagnants et des perdants. Au-delà des situations personnelles, deux questions sont ouvertes: les pertes fiscales à venir, ainsi que les conséquences sur les milieux de la construction.
Interview de Franziska Biner, Conseillère d’État en charge des finances.