Opération Libero, c’est un mouvement de jeunes motivés qui militent pour défendre une Suisse qui leur ressemble. Si le mouvement s’est développé officiellement à Genève depuis juin 2017, il existe depuis 2014. Il compte plus de 1500 membres et le budget est récolté par financement participatif. Pas de couleur politique ni de rapport hiérarchique et encore moins d’ambition d’élection: le groupe se définit comme une start up politique où chacun trouve sa place.
«Ce qui nous rassemble, explique Jérémie Juvet, vice-président d’Opération Libero Genève, c’est le fait qu’on est un mouvement libéral. Tous les jeunes et les moins jeunes qui font partie d’Opération Libero se reconnaissent dans cette idée de la démocratie libérale qui a participé au fondement de la Suisse et qui a aussi fait son succès. Donc, chez Opération Libero, il y a des jeunes de gauche, de droite et on s’engage quand on a l’impression qu’il faut monter au créneau.»
Pour sa première campagne en Romandie, Opération Libero s’investit contre l’initiative nationale No Billag. Distribution d’informations et dialogue dans la rue, le plan d’action s’étend également sur les réseaux sociaux.
«Jeunes et moins jeunes qui font partie d’Opération Libero se reconnaissent dans l’idée fondatrice de la démocratie libérale»
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