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Témoignage: consentir ou refuser, la délicate question de la redéfinition du viol

22% des Suissesses auraient déjà subi des actes sexuels non consentis, le plus souvent, du fait de personnes connues. Aussi, en ce 14 juin, les collectifs féministes poursuivent leur lutte sur le sujet. Contrairement au Conseil des Etats qui a validé une redéfinition du viol sur la base du "non est un non" – refus explicite – elles plaident pour un consentement explicite. Voyez ici le témoignage d'une victime et la réaction de Beatrice Pilloud, avocate pénaliste.

Et pour prolonger le sujet de l'éducation au respect et au consentement, notre interview de Fabienne Bitschnau, éducatrice en santé sexuelle: