Le nombre de caméras de surveillance augmente en Valais, mais personne ne sait combien elles sont exactement sur le domaine public. Leur nombre varie beaucoup d’une commune à l’autre, ainsi que le délai de conservation des images. Une situation pas toujours conforme à la loi. Mieux former la police et mieux signaler la surveillance par des panneaux en plusieurs langues, deux priorités que met en avant le préposé VS à la protection des données, Sébastien Fanti.