«C’est ce qui se fait de pire dans l’industrie», dénonce UNIA Valais. Blaise Carron explique qu’une dizaine de personnes, presque exclusivement des femmes, employées par Adatis, sont rémunérées de manière indécente: un salaire mensuel de 3000 francs pour 42,5 heures de travail par semaine, quatre semaines de vacances et pas de 13e salaire. Adatis (dont la spécialité est la fabrication de pièces techniques de précision par injection), travaille pour Bösch et Continental notamment.
Contactée, la direction d’Adatis n’a pas souhaité s’exprimer.