Ce mercredi, le Journal se rend à Vex, porte d’entrée du Val d’Hérens. Au menu: la tour Tavelli, le hameau d’Ypresses et l’ancienne église St-Sylve.
L’actualité du jour en bref et en images
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Tour Tavelli à Vex: «Un lieu magique pour se promener et contempler», confie Patricia Almeida
L’originalité de cette tour, dont on sait peu de chose, vient de sa forme octogonale, seul exemple connu dans l’architecture militaire du Valais (voire de la Suisse) du XIIIe siècle. «Cet endroit se trouve tout proche de ma maison d’hôtes, explique Patricia Almeida, blogueuse et ambassadrice du val d’Hérens. Je viens régulièrement m’y promener, au rythme des saisons. Il y a un côté mystérieux. On est sur un plateau morainique. On a la vue sur le vallon de la Borgne. Plus loin, il y a des vignes oubliées. C’est un endroit que j’aime. C’est un lieu magique pour se promener et contempler.»
Visite guidée de l’église romane de Vex avec l’archéologue Caroline Tschanz-Branca
L’ancienne église de Vex trône fièrement à l’entrée du village, au-dessus de la route de la Vallée. Construite au XIe siècle, l’église romane de St-Sylve de Vex était dédiée au deuxième évêque du diocèse. Elle a traversé les époques, subissant plusieurs rénovations. Elle est classée au patrimoine du canton du Valais. Des vestiges permettent de penser que les lieux ont été occupés à l’âge du bronze déjà.
Pour en parler, sur place, une invitée: Caroline Tschanz-Branca, conseillère communale et archéologue.
Le hameau Ypresses à Vex: «Un balcon du ciel où venir admirer les couchers de soleil»
Après la tour Tavelli, la Française Patricia Almeida, blogueuse, photographe et propriétaire d’une chambre d’hôtes de charme, a choisi de nous emmener au hameau Ypresses, sur la commune de Vex. «J’y viens régulièrement, au rythme des saisons, pour y admirer les couchers du soleil. C’est un peu comme un balcon du ciel, un balcon du soleil. On a la vue sur la plaine du Rhône et derrière moi sur la Maya, un peu cachée par les nuages et puis c’est un hameau d’un autre temps où les Bacounis venaient aux mayens.»