Raphaël Coppey est en 3e année de sa formation de ferblantier. Il veut continuer dans cette voie pour la suite. «Il y a plein de machines différentes à utiliser et beaucoup de techniques à apprendre. Cela m’a beaucoup plu. On est dedans, dehors. Il y a beaucoup de pièces à faire. C’est cool!» Cette voie professionnelle, il l’a choisie après un stage d’été.
«Il y a quand même un gros changement entre l’apprentissage et l’école obligatoire, note Simon Dayer, contremaître en ferblanterie en formation. C’est bien plus sérieux dans le monde du travail. Il faut les aider à s’adapter tranquillement en 1re année et les amener au fur et à mesure à l’autonomie.»
Ils sont quatre apprentis en ce moment chez Edouard Bovier et Fils SA à Sion, entreprise qui compte un vingtaine d’employés.