« On a la difficulté parce qu’on ne peut pas monter le Sanetsch sans transpirer et sans que les jambes piquent en haut, on a aussi la tranquillité parce qu’il y a peu de voitures et enfin le fun et le paysage », explique Nadège Fischer-Clausen. La cycliste est une habituée de la montée du col en vélo. Interview au sommet.